Un homme assis sur un canapé en cuir, tenant son front avec une main, l'air préoccupé, dans une pièce sombre avec un mur bleu foncé.

Meghan Radosavljevic -

Psychologue clinicienne,

psychothérapeute &

art-thérapeute à Nîmes

Pourquoi consulter un psychologue ?

Consulter un psychologue, c’est accepter de faire une pause au milieu du tumulte. C’est entrer dans un lieu où l’on peut enfin déposer ce qui pèse, ce qui remue, ce qui déborde ou ce qui reste trop longtemps en silence.

Parfois, quelque chose en nous se fissure ou s’essouffle : un chagrin persistant, une fatigue de l’âme, une peur qui s’installe, une histoire qui ne se laisse pas apaiser. D’autres fois, c’est plus diffus : un malaise flou, une impression de tourner en rond, un besoin de comprendre ce qui revient sans cesse.

Dans cet espace de parole et de confiance, on peut :

  • laisser émerger ses émotions sans se censurer ;

  • éclairer ce qui était enfoui, confus ou trop lourd à porter seul(e) ;

  • apprivoiser ses blessures, ses doutes, ses zones d’ombre ;

  • redonner du sens à son histoire et à ses mouvements intérieurs ;

  • se découvrir capable d’autres façons d’être, plus libres, plus vivantes.

Le psychologue n’apporte pas de solutions toutes faites : il offre une présence, une écoute fine, une qualité d’accueil qui permettent de se rencontrer soi-même autrement.

Consulter, c’est choisir de s’accorder du temps.
C’est accepter de prendre soin de ce qui se fragilise, de ce qui cherche à se dire.
C’est avancer, pas après pas, vers un apaisement plus durable et une manière plus douce d’habiter sa vie.

Photo aérienne d'une route sinueuse entourée d'arbres enneigés, avec un lac à gauche.

Psychologue clinicien, psychothérapeute et art-thérapeute : quelles différences ?

Le psychologue clinicien

Le psychologue clinicien est un professionnel diplômé d’un Master universitaire (Bac +5) en psychologie, avec une formation approfondie en psychopathologie, développement du sujet, processus psychiques et techniques d’entretien clinique.
Il est formé à :

  • l’évaluation psychologique et le diagnostic ;

  • la compréhension du fonctionnement psychique ;

  • l’accompagnement thérapeutique ;

  • l’analyse des troubles émotionnels, relationnels ou comportementaux.

Il exerce sous le respect du Code de déontologie des psychologues et offre un cadre thérapeutique solide, basé sur l’écoute, la clinique et l’éthique. Le psychologue clinicien peut pratiquer différentes formes de psychothérapie selon sa spécialisation.

Le psychothérapeute

Le titre de psychothérapeute est un titre protégé par l’État.
Il peut être porté par :

  • les psychologues (qui peuvent obtenir ce titre après leur formation),

  • les psychiatres,

  • ou certains professionnels ayant suivi une formation complémentaire reconnue par l’ARS (Agence Régionale de Santé).

Le psychothérapeute est spécifiquement formé à la conduite de psychothérapies, selon un courant théorique particulier (psychanalytique, TCC, systémique, humaniste, intégratif…).
Son rôle est d’accompagner la personne dans un travail thérapeutique approfondi, visant un mieux-être psychique durable.

L’art-thérapeute

L’art-thérapeute utilise la création artistique comme médiation thérapeutique : dessin, peinture, modelage, collage, écriture, musique, mouvement…
L’objectif n’est pas esthétique, mais psychique :
permettre l’expression symbolique, l’émergence des émotions et l’exploration de l’inconscient par le geste créatif.

La formation en art-thérapie peut varier selon les écoles : certaines sont universitaires, d’autres privées. L’art-thérapeute peut être psychologue, mais ce n’est pas toujours le cas.

En séance, l’art-thérapie offre un espace différent de la parole seule : un lieu où l’on peut dire par la matière, contourner les blocages, accéder à des vécus difficiles à verbaliser.

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